La proposition de Habeck: Saver dans la pince - qu'avons-nous?

Robert Habeck fordert, Kapitalerträge sozialversicherungspflichtig zu machen. Kritik von Union, FDP und Experten wächst.
Robert Habeck demande à rendre le revenu du capital soumis aux contributions de la sécurité sociale. La critique de l'Union, du FDP et des experts augmente. (Symbolbild/ANAG)

La proposition de Habeck: Saver dans la pince - qu'avons-nous?

La proposition de Robert Habeck, ministre de l'économie et candidat du chancelier pour les Verts, pour introduire une obligation de sécurité sociale pour les gains en capital entraîne actuellement de violences dans le paysage politique de l'Allemagne. Le 15 janvier 2025, Habeck a déclaré qu'il était temps de se soumettre à ce système de revenu et de dividendes afin d'activer les fonds statutaires d'assurance maladie. Il est dirigé contre la pratique actuelle de retirer les revenus de placement des contributions à la sécurité sociale, ce qui, à son avis, conduit à un fardeau disproportionné sur les salaires de travail. Selon Habeck, contrairement à d'autres parties, les Verts parleraient ouvertement des coûts de leurs investissements d'environ 40 milliards d'euros, tandis qu'il certifie le syndicat un "cloudkuckucksheim" qui échoue dans la réalité des défis.

Cependant, la proposition a déclenché une résistance à partie croisée. La critique des rangs de l'Union et du FDP est particulièrement nette. La politicienne de la CDU, Julia Klöckner, était préoccupée par le fardeau possible des petits épargnants, tandis que FDP-vice Wolfgang Kubicki Habeck a décrit comme "stupide" dans un duel de télévision et a parlé des connaissances de base de la loi sociale et fiscale. Kubicki a mis en garde contre les conséquences financières que les épargnants devraient supporter des contributions supplémentaires sur la sécurité sociale.

Critique et préoccupations de l'opposition

Les opposants à la proposition soulignent que les mesures stressantes pourraient particulièrement prendre la classe moyenne. Le patron de la CSU, Markus Söder, a également mis en garde contre les conséquences et a souligné qu'une telle procédure était perçue comme une punition pour une action indépendante. En outre, la communauté protectrice des investisseurs a exprimé ses préoccupations que les personnes obligatoires soient invitées à vérifier jusqu'à ce que le plafond de contribution sur leurs gains en capital. Le secrétaire général du FDP, Marco Buschmann, a accusé Habeck de vouloir "piller" les investisseurs.

En outre, divers votes ont signalé des pertes financières possibles pour les épargnants. Le groupe parlementaire du FDP, le vice-chrétien Dürr, a estimé que de nombreux épargnants pourraient perdre des dizaines de milliers d'euros, tandis que l'expert en finance Frank Schäffler intitulé la proposition comme "2e bombe atomique pour notre pays" et craignait l'expropriation des épargnants.

Arguments pour plus de solidarité

Dans un autre point, Jens Baas, chef du techniker Krankenkasse, a signalé son mot à dire et a averti une augmentation des contributions de l'assurance maladie à 20% au cours de cette décennie s'il n'y a pas d'intervention politique. Cette déclaration illustre l'urgence des discussions sur le financement des compagnies d'assurance maladie, en particulier en ce qui concerne les contributions supplémentaires récemment augmentées des compagnies d'assurance maladie statutaire, qui représentent désormais en moyenne 2,91% du revenu contributif.

En résumé, la proposition de Robert Habeck signifie une réforme fondamentale des systèmes de financement en Allemagne, qui provoque à la fois un soutien et une résistance violente. Le discours politique restera passionnant jusqu'à ce que des solutions claires et un accord soient trouvés.

Plus d'informations sur ce sujet peuvent être trouvées dans les rapports détaillés de südwest24 et tagesschau .

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