Désaccord au sommet: l'attitude de l'Europe envers la crise de l'Ukraine sur la répétition!
Désaccord au sommet: l'attitude de l'Europe envers la crise de l'Ukraine sur la répétition!
Le sommet parisien, qui a eu lieu hier, qui traitait de la Situation actuelle dans le conflit ukrainien, a révélé de profondes maladies parmi les pays européens au sujet de la publication possible d'une force de paix. Le chancelier Olaf Scholz a commenté de manière critique les discussions sur le soutien militaire, qui à son avis étaient prématurées et irritantes. Il a souligné que les discussions sur les résultats possibles des discussions de paix qui n'ont pas encore eu lieu étaient problématiques. Au sommet, il y avait des participants éminents tels que Emmanuel Macron de France, Keir Strander de la Grande-Bretagne ainsi que les chefs d'État et le gouvernement d'Italie, de Pologne, d'Espagne, de Pays-Bas et de Danemark.
Keir Strander a signalé sa volonté d'envoyer des soldats en Ukraine et a demandé à la Grande-Bretagne de jouer un rôle de premier plan dans les garanties de sécurité. À ce stade, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-No-Noël Barrot, a constaté que des conversations concrètes sur la publication possible des troupes étaient en cours. Le principal sujet du sommet a été la réaction au changement bien sûr dans la politique américaine de l'Ukraine, qui vise à persuader à la fois le président Selenskyj et Vladimir Poutine de négocier et de transférer la responsabilité d'un futur accord de paix.
Désaccord sur les garanties européennes des rôles et de la sécurité
Les participants au sommet ont été invités à signaler les contributions possibles aux garanties de sécurité pour l'Ukraine, y compris la possibilité d'envoyer des soldats. Strander a souligné la nécessité de sa propre garantie de sécurité américaine afin d'empêcher la Russie de poursuivre l'agression militaire. Les dirigeants européens, dont le président de la Commission de l'UE, Ursula von der Leyen, et le président du Conseil António Costa, ont confirmé le soutien de l'intégrité territoriale de l'Ukraine. Néanmoins, il y avait un désaccord sur le rôle de l'Europe dans le processus de négociation et des concessions possibles à la Russie.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères a profité de l'occasion pour critiquer les participants du sommet et a remis en question leurs véritables intentions. Les États-Unis ont clairement indiqué qu'ils ne voulaient pas envoyer des soldats pour sécuriser un armistice. Macron a apparemment passé un appel téléphonique au président américain Trump avant le sommet, qui s'efforce également de négocier avec Poutine.
Réactions des pays européens
Les Pays-Bas et la Suède étaient ouverts à la publication de soldats, tandis que l'Espagne et le Danemark ne excluent pas cela. Cependant, la Pologne prévoit de ne pas envoyer de troupes, mais veut toujours soutenir d'autres pays européens dans leurs efforts. Il y a actuellement une incertitude quant à la force des troupes possibles; Une discussion sur un numéro de cinq chiffres a lieu, tandis que l'idée de 200 000 soldats est considérée comme irréaliste.
Dans une déclaration finale, Scholz a souligné qu'un résultat de négociation avec la participation de la partie ukrainienne était nécessaire avant que l'on puisse penser à assurer un possible cessez-le-feu. Il a également refusé d'envoyer des soldats européens sans participation aux États-Unis afin d'éviter de se séparer au sein de l'OTAN. Ce sujet reste un domaine central de litige dans les discussions à venir entre les nations européennes.
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