Scandale de protection des données dans le bureau de bien-être des jeunes: les victimes se battent pour la justice!

Im Hochsauerlandkreis wurden ernsthafte Datenschutzverstöße im Jugendamt Schmallenberg bekannt, die Opferschutzfragen aufwerfen.
Dans les Hochsauerlandkreis, de graves violations de la protection des données ont été connues au Bureau de bien-être des jeunes de Schmallenberg, qui soulèvent des problèmes de protection des victimes. (Symbolbild/ANAG)

Scandale de protection des données dans le bureau de bien-être des jeunes: les victimes se battent pour la justice!

Dans le bureau de bien-être des jeunes de la ville de Schmallenberg, des incidents alarmés liés à la protection des données et à la protection de l'enfance ont eu lieu. Selon un rapport de Lokalkompass.de , des rapports de police interne ont été transmis par le tribunal familial de la Cour de district de MESCHED parties. Cela s'est produit, bien que le juge responsable K. ait violé l'avis de blocage conformément au §51 de la loi sur l'enregistrement fédéral. Cet incident soulève de graves préoccupations concernant la protection des données.

Le Bureau de protection des victimes de l'autorité de police du district, Meschede, a confirmé que la publication de ces rapports était inadmissible. Dans les documents, une femme est clairement identifiée comme victime de violence domestique et de menaces par son ex -partner violent. Ces informations suscitent le souci de se soucier de savoir si le Bureau du bien-être des jeunes à Schmallenberg aurait dû prendre la responsabilité de protéger la femme et ses enfants.

violence domestique et protection inadéquate

La discussion sur les fonctions du bureau de bien-être des jeunes devient plus intensive si vous regardez les expériences des femmes touchées dans les Hochsauerlandkreis. Un autre exemple effrayant est l'histoire d'une femme de Schmallenberg, que son ex -partner a versé avec de l'eau bouillante. Malgré les graves allégations contre la violence, qui a déjà été condamnée, il a reçu la garde exclusive, tandis que la mère s'est vu refuser de savoir comment traiter avec son enfant pendant près de deux ans.

Après une séparation ou un divorce, il y a un bon comportement pour les parents en droit allemand. Néanmoins, la question demeure à quel point cette offre est mise en œuvre efficace dans la pratique. L'incident jette un mauvais éclairage sur le travail des bureaux de bien-être des jeunes dans les Hochsauerlandkreis, dont la fiabilité est très remise en question en public selon des rapports.

Prise en charge des personnes affectées

La femme touchée de Schmallenberg reçoit le soutien de plusieurs associations de protection familiale, notamment la protection familiale Leana E.V. d'Osnabrück. La présidente de cette association a signalé de graves menaces qu'elle avait reçues de l'avocat de l'ex-partie. De telles attaques contre les partisans et les avocats illustrent la situation tendue pour les femmes qui sont dans un environnement de violence domestique.

Une autre préoccupation pour s'inquiéter est que plusieurs femmes du Hochsauerlandkreis ont eu des expériences similaires au tribunal de district de Meschede. Cela suggère que des problèmes systémiques et éventuellement des mécanismes de protection inadéquats pour les victimes de violence domestique sont disponibles.

Les enquêtes pour une prononciation clarifiante au maire Burkhard König et à l'administrateur de district, le Dr Karl Schneider, ont été rejetés par écrit. Une demande de commentaire pour cet article est restée tout aussi sans réponse.

Le sujet autour du bureau de bien-être des jeunes à Schmallenberg et le manque de considération de la protection des victimes pourraient avoir des conséquences de grande envergure pour les femmes et les familles touchées. Dans une société ouverte, il ne faut pas admettre que les droits des victimes sont ignorés dans cette mesure.

De tels incidents doivent être traités pour garantir que les décisions sacrificielles seront prises à l'avenir. La protection des femmes et des enfants en voie de disparition devrait avoir une priorité absolue dans le travail des bureaux de protection sociale des jeunes et des tribunaux.

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