Ressentiment parmi les infirmières: démos contre l'appartenance obligatoire à la chambre!

Ressentiment parmi les infirmières: démos contre l'appartenance obligatoire à la chambre!
Ressentiment parmi les infirmières en Rhénanie-Palatinate augmente, en particulier en ce qui concerne la chambre des soins infirmiers de l'État. Ceci a été fondé le 1er janvier 2016 en tant que groupe d'intérêt public public. Il oblige toutes les infirmières à l'adhésion et à payer des contributions annuelles, qui s'élèvent en moyenne à un peu moins de 140 euros, selon le salaire des membres. Les détracteurs de la Chambre considèrent cela comme un fardeau déraisonnable et appellent à l'abolition des contributions obligatoires et une enquête complète auprès de tous les membres du personnel infirmier à l'adhésion à la chambre.
Les manifestations se sont manifestées récemment. La première manifestation contre la Chambre a eu lieu à Mainz début mars, au cours de laquelle 150 à 200 participants ont participé. D'autres démos sont prévues pour le 10 mai à Trier et le 5 juillet à Koblenz. Michael Pauken, chef d'un centre senior, exprime des critiques significatives de la chambre et la décrit comme inefficace. Le président de la chambre Markus Mai, en revanche, défend leur travail et les considère comme utiles. Il souligne que la chambre a contribué à améliorer les salaires et les conditions de travail du personnel infirmier.
Critique et aspects juridiques de l'appartenance obligatoire
L'adhésion forcée est réglementée par la loi sur le salut, qui est destinée à garantir un plaidoyer complet. Selon un jugement du tribunal administratif de Massez, qui a confirmé la légalité de l'adhésion obligatoire en 2017, il était nécessaire de renforcer la profession et de garantir la qualité des soins infirmiers. La législature de l'État avait réglé la création de la chambre sans violer les droits fondamentaux. Le demandeur d'une procédure pionnière a fait valoir que les dispositions de la loi sur les soins de guérison violeraient la loi fondamentale. Cependant, le tribunal a rejeté le procès et confirmé les membres obligatoires.
Les critiques de la chambre sont appelés "groupe gérable". Néanmoins, la dernière demande de la chambre aux employeurs pour signaler leurs infirmières assure des troubles. Certains employeurs refusent de faire le message, qui continue de dériver le mécontentement entre le personnel infirmier. On craint que l'adhésion obligatoire soit considérée comme un inconvénient de l'emplacement pour la Rhénanie-Palatinate, en particulier compte tenu du fait qu'il n'y a qu'une chambre comparable dans le Rhin-Westphalie du Nord qui n'augmente aucune contribution obligatoire.
Rhénanie-Palatinate dans le contexte
En Rhénanie-Palatinate, la situation semble être obligatoire pour tous ceux qui ont leur profession dans l'État fédéral. Cela comprend non seulement le personnel infirmier, mais aussi les médecins, les dentistes et les pharmaciens, comme le définit la loi sur les professions de guérison. Ces réglementations conduisent à une dynamique spéciale dans la profession, qui souffre en partie de l'adhésion obligatoire double. Par exemple, les infirmières du Rhénanie du Nord-Westphalie peuvent être membres de NRW et de Rhénanie-Palatinate s'ils travaillent et y vivent.
La chambre infirmière elle-même compte actuellement environ 40 000 membres. Malgré les voix critiques en public, il y a également une rétroaction positive sur le travail de la chambre. Cela polarise au sein de l'industrie, et l'insatisfaction à l'égard de la communication et du soutien de la chambre reste un sujet central. Les préoccupations concernant les conséquences négatives possibles pour la profession par la critique continue sont prises au sérieux par le président de la chambre Mai.
En résumé, on peut dire que le débat sur la chambre des soins infirmiers de l'État en Rhénanie-Palatinate et que l'adhésion coercitive associée continuera d'être victime. Les démos à venir sont attendues avec impatience, tandis que la chambre essaie de défendre leur position et les avantages de leur travail. La clarté juridique semble être donnée pour le moment, mais le ressentiment parmi les infirmières est évident. La discussion persistante sur l'appartenance obligatoire à la Chambre des soins infirmiers illustre les problèmes centraux de l'industrie, qui sont visibles à la fois par les réglementations juridiques et par les mouvements de la société civile. Il reste à voir comment la situation se développera et si la chambre peut réagir rapidement aux besoins de ses membres. [borkenerzeitung.de] [ra-siefarth.de] DetailsQuellen