Tragédie à Aschaffenburg: Attaque mortelle contre les enfants de la maternelle Shakes City!

Tragédie à Aschaffenburg: Attaque mortelle contre les enfants de la maternelle Shakes City!

Le 23 janvier 2025, une couronne de couronne a eu lieu à Aschaffenburg pour commémorer les victimes d'une attaque tragique qui avait plongé un groupe de maternelle la veille. Un enfant et un homme ont été mortellement blessés dans cet acte de violence. L'auteur présumé, un Afghan, a été informé à un hôpital psychiatrique immédiatement après le crime. Ces incidents soulèvent à nouveau des questions sur les sujets de «l'intégration» et de «sécurité».

Le maire d'Aschaffenburg, Jürgen Herzing (SPD), a mis en garde contre les dangers de la haine et de l'agitation, qui pourraient par conséquent provenir du crime. Il a souligné que les actes d'un seul ne devraient pas être accusés d'un groupe entier de personnes. Ce message est particulièrement pertinent à un moment où de tels incidents deviennent rapidement des problèmes de campagne.

Réactions et responsabilités politiques

Le ministre de l'intégration de la Rhénanie-Palatinate, Katharina Binz (Greens), a commenté l'incident dans une interview avec la SWR. Elle a parlé d'un "problème d'application" dans l'expulsion de l'agresseur, qui aurait dû être montré depuis juin 2023. Binz a posé la question urgente de la façon dont il peut être possible qu'une personne qui était déjà connue des autorités ait continué à rester en Allemagne. Elle a soutenu la proposition du président de la Rhénanie-Palatinde par la CDU, Gordon Schnieder, pour une arrestation de départ indéfinie des délinquants criminels, mais a appelé à un règlement à l'échelle nationale.

L'acte de violence est déjà utilisé comme sujet de campagne électorale, et les partis politiques poussent la responsabilité de l'autre. Alors que le chancelier fédéral Olaf Scholz (SPD) exhorte une responsabilité conjointe des autorités bavaroises, le ministre de l'Intérieur de la Bavière Joachim Herrmann (CSU) voit la faute du bureau fédéral de migration et de réfugiés.

Contexte d'une tentative de meurtre

L'accusé qui avait déjà épousé la femme n'a dit aucun mot pendant l'attaque, mais a montré un langage corporel expressif caractérisé par la haine. Selon son ex-femme, qui a survécu après l'attaque, l'agresseur a même été décrit comme "heureux" après l'acte. Les deux s'étaient rencontrés en Somalie en 2014 et se sont mariés en 2015, un mariage qui n'a pas été reconnu en Allemagne.

Le jour de la journée, la femme avait parlé à l'accusé à l'avance, qui s'est avéré sobre et amical. L'auteur présumé l'avait auparavant craignant de menacer qu'elle mourrait si elle ne le reprenait pas. Cette relation complexe et la situation d'intensification conduisent à une situation extrêmement violente qui affecte non seulement les destins individuels, mais aussi des problèmes sociaux plus importants.

Violence contre les femmes et la responsabilité sociale

Les événements d'Aschaffenburg illustrent à nouveau les défis en cours concernant la violence à l'égard des femmes en Allemagne. Un rapport de l'Institut allemand des droits de l'homme publié le 3 décembre 2024 analyse le phénomène de la violence entre les sexes au cours de la période de référence de 2020 à 2022. L'institut s'occupe des obligations de l'Allemagne de la Convention d'Istanbul et documente les développements et les progrès dans ce domaine sensible.

Les événements tragiques à Aschaffenburg et le débat politique à la suite des attaques, une indication urgente que la société est tenue de prendre davantage la violence au niveau individuel et institutionnel et de reconnaître les causes.

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